SCÉNARIOSDE COMMERCE INTERNATIONAL ET DE PRIX 6.1 Oignon 6.2 Pomme de terre 6.3 Tomate 6.4 Ail 6.5 Chou-fleur 6.6 Des haricots 6.7 Aubergine 6.8 Citron 6.9 Pommes 6.10 banane 6.11 Raisins 6.12 fraise 6.13 Pastèque 6.14 Rendez-vous 6.15 Olives 7. ANALYSE RÉGIONALE 7.1 Analyse PILON 7.2 Analyse de la chaîne de valeur 7.3 Politiques
Quantà la salade verte (laitue) elle est cédée entre 80 et 100 DA et le citron entre 200 et 220 DA. Sur un autre volet, les prix des fruits ont
Lataille du marché algérien des fruits et légumes devrait enregistrer un TCAC de 5,8 % d'ici 2026. Le rapport comprend l'analyse de la production (volume), l'analyse de la consommation (valeur et volume), l'analyse des exportations (valeur et volume), l'analyse des importations (valeur et volume). ), et analyse de la tendance des prix. Téléchargez un exemple de rapport
En1948 l'Algérie est le plus important exportateur de fruits et de légumes de la métropole. Pour arriver à ce miracle économique, les marais ont été asséché
ALGER- La hausse des prix des fruits et légumes constatée depuis quelques jours sur le marché est un fait "conjoncturel" du à plusieurs facteurs ont expliqué mercredi des mandataires des marc
Nouvelleflambée des prix des fruits en Algérie. La banane, la poire, les fraises, les figues, les pommes sont inaccessibles pour les moyennes et les petites bourses. La fraise est à 400 dinars, la banane se vend entre 700 et 1000 dinars le kilo, les raisins à plus de 280 dinars, les figues à 750 dinars sur certains marchés.
Notreagriculture doit etre encore soutenue davantage pour produire et diversifier ses recoltes le long de toutes les saisons.L Etat doit penser a mettre a la disposition des producteurs une logistique valable pour leur permettre d exporter leurs produits dans le monde entier.Quand je vais dans un hypermarche en Europe je trouve des produits de l amerique du
1OhyRd4. On incrimine les dégâts causés par les récentes intempéries, on dénonce le dérèglement du marché de gros ; il y a toujours un prétexte pour justifier le prix élevé des fruits et légumes. Toujours est-il que ce prix est anormalement élevé malgré une saison clémente et une surabondance en qualité et en quantité de nos produits agricoles. Cette surabondance se remarque par les grandes quantités des fruits et légumes sur les étals des marchands. Ces produits agricoles sont présentés en quantités si énormes que l’on doute des chances d’écouler la marchandise dans la même journée. C’est le cas des pommes de terre, des oignons, des mandarines, des oranges, des grenades, des dattes, des navets, des carottes, des aubergines, des courgettes, du chou-fleur, de la laitue et aussi des pommes, tous de production locale. Les prix de ces fruits et légumes oscillent dans une fourchette située entre 100 et 600 dinars. Pour l’ail, le kilo franchit allégrement la barre des 1 000 dinars C’est trop pour le panier de la ménagère, qui se résout bien souvent à n’acheter ces fruits et légumes que par unité. Pourtant la qualité de ces produits que génère le sol algérien ne peut qu’être admirée. Ils sont d’abord bio, à l’iverse de ceux que l’on trouve dans les pays industrialisés et qui regorgent de revitalisants chimiques et de conservateurs nuisibles à l a santé. Nos produits sont aussi attirants par leur fraîcheur et leur goût naturel. Ainsi cette année les chou-fleurs sont les rois du marché. En les voyant si appétissants, on ne peut s’empêcher de penser à une soupe fumante et vivifiante avec ce légume, digne produit de notre terroir. Il en de même pour la laitue, superbe cette année, donnant une salade savoureuse et bienfaisante. Il faudrait que les prix des légumes soient en harmonie avec le pouvoir d’achat du citoyen algérien moyen. La consommation régulière des fruits et des légumes constitue le garant d’une bonne santé, et l’Algérie génère en abondance ces produits agricoles. Nombreux sont les Algériens qui connaissent les valeurs nutritives de nos fruits et légumes. Soit ils les achètent par unité dans les marchés, soit ils guettent le passage des vendeurs ambulants qui offrent des prix mois élevés. Certains même se déplacent en voiture en fin de semaine pour s’approvisionner dans des marchés dans les localités voisines. Pour ceux qui n’ont pas de véhicule, le marché de l’Aquiba, à Belcourt, est le seul espace dans la capitale où les prix des fruits et légumes peut être abordable. On trouve, à titre d’exemple, des tomates à 50 dinars le kilo, alors qu’ailleurs c’est le double ou le triple.
C’est la bonne nouvelle de la période post-Ramadan après d'une flambée insupportable sur les marchés, les prix sont à la baisse au grand soulagement des ménages algériens dont les bourses ont été vidées. La presse locale ne manque pas de commenter cette belle surprise en apportant quelques explications. Même la star de la table algérienne, en l'occurrence la pomme de terre, est revenue à des prix abordables. Le kilogramme est cédé entre 60 et 80 dinars, soit la moitié de ce qu'elle coûtait durant le mois sacré du Ramadhan », note le quotidien l’Expression. Selon cette même source, le poulet s’écoulerait à présent à 280 dinars le kg, contre quasiment le double il y a quelques semaines. Tandis que la viande rouge reviendrait à son niveau habituel, à partir de 1100 dinars le kg », précise le journal. Le quotidien El Watan, cite pour sa part l’Association algérienne de protection et d’orientation du consommateur et son environnement Apoce, dont le point de vue est légèrement nuancé. Nous sommes un peu rassurés. Les indicateurs sont réconfortants au vu de la baisse quotidienne des prix de certains produits et de leur abondance, mais le marché national est perturbé et imprévisible, et il peut réserver des surprises à tout moment, c’est ce que nous avons vécu par expérience», commente son président Mustapha Zebdi. Autre satisfaction des ménages, les produits jusque-là sous tension, tel que l’huile de table, la semoule et le lait en sachet, sont à nouveau largement disponibles. Ils remplissent les étals, faisant fièrement face aux clients. Ces derniers s'étonnent de les trouver en abondance alors que les commerçants assurent que ces produits de première nécessité ne trouvent presque plus preneur », signale même l’Expression. Comment s’explique cette baisse surprise qui apporte une bouffée d'oxygène ? La chute de la demande post Ramadan est bien entendu le premier facteur. Mais cela n’est probablement pas suffisant pour dissuader les réseaux de commerçants véreux rodés aux pratiques de stockage et de régulation » spéculative de la distribution en lien avec les barons de l’économie informelle. La criminalisation des actes de spéculation a sans doute produit son effet, elle est dissuasive. La loi prévoit désormais la perpétuité pour ces délits. L’approvisionnement des ménages, un dossier tout compte fait très politique, est pris en charge au sommet de l’Etat. Il fait l’objet de directives du président Tebboune en personne. On parle de sécurité alimentaire », d’organisation des circuits de distribution et de mesures incitatives sur toute la chaîne, seule issue pour briser la spirale spéculative. La nouvelle Algérie est-elle en marche? », s’interroge l’Expression, publication très proche du pouvoir. La question mérite en effet d’être posée. Les Algériens sont abandonnés au bon vouloir de la pègre qui accumule des richesses dans le secteur commercial depuis des décennies. Reste qu’il n’est sûrement pas d’Algérie nouvelle », sans liberté d’opinion, de pensée et d’expression.
Algérie – Le marché des fruits et légumes observe une nouvelle fois une flambée des prix qui met le citoyen dans une situation de doute et d’inconfort. Voici les détails juste en-dessous, ce 10 décembre 2021. Et c’est reparti pour un tour ! Au fait, la cherté de la vie exaspère au plus haut point les citoyens en Algérie qui se retrouvent à nouveau confrontés à une augmentation de prix, pas vraiment justifiée, des fruits et légumes. C’est du moins ce qu’a soutenu le média arabophone Ennahar dans sa précédente édition de cette réalité palpable. Chez les commerçants détaillants, les prix des légumes affichent d’importantes hausses. Il est devenu presque impossible de s’acquitter de ces aliments. Qui s’avère être pourtant essentiels dans les cuisines algériennes. À l’exemple du prix de la tomate qui atteint les 200 DA le kilogramme. Alors que son prix ne dépassait pas les 100 DA. En outre, le prix des navets et des carottes sur le marché varie entre 60 et 80 dinars. Tandis que le prix de la pomme de terre a atteint les 80 DA le kilogramme. Les haricots verts ont eux atteint les 150 DA. Les consommateurs ont été outrés de voir les nouveaux prix des fruits et légumes. Zoom sur les prix du marché D’autres légumes sont proposés à des prix jugés exorbitants. Il s’agit notamment des oignons dont le prix affiché est à 60 DA le kg. La courgette est commercialisée entre 120 et 140 DA. Quant aux concombres et la laitue, leur prix est fixé à 100 DA. Pour ce qui est du poivron, son prix s’élève à 100 DA. Les fèves oscillent entre 160 et 180 DA le fruits non plus n’ont pas été épargnés par cette hausse. Les oranges se vendent entre 120 et 140 DA. Pareil pour les mandarines dont le prix atteint les 200 DA le kilogramme. Les bananes n’en parlons pas. Elles sont cédées à 300 DA. Les dates varient entre 400 et 650 DA. Deglet Nour se commercialise entre 500 à 750 viandes blanches et rouges sont également hors de prix. Le poulet s’élève entre 420 et 450 DA. Alors que le prix d’un plateau d’œufs est vendu à 450 DA.
Depuis des mois, les citoyens algériens font face à une flambée des prix de tous les produits alimentaires. Par conséquent un pouvoir d’achat qui s’amoindrit de jour en jour avec des prix atteignant des sommets. Les fruits et légumes qui font partie intégrante de l’alimentation des Algériens, connaissent une hausse fulgurante, et ce même pour les produits de série de prix élevés des légumes et des fruits en Algérie se poursuit. Les différents marchés du pays connaissant ces jours-ci encore des niveaux records, surtout avec les légumes de saison. Ce qui soulève l’étonnement des consommateurs, mais aussi des marchands de fruits et légumes, et ce vu la disponibilité de beaucoup de produits durant la saison d’ derniers jours, le prix des tomates était entre 120- 160 dinars, alors que nous sommes en pleine saison des tomates. Par ailleurs, le prix des piments doux est compris entre 100 et 130 dinars et le piment vert atteint les 200 dinars. Quant à la carotte, son prix varie entre 60 et 70 dinars algériens. On trouve aussi les haricots verts, qui sont cédés à pas moins de 160 dinars, alors que c’est un légume d’ qui pousse les citoyens à se poser des questions, c’est le fait que ces fruits et légumes soient de saison mais que les prix ne baissent l’approche de l’Aïd Al-Adha, les moutons vendus à des prix exorbitantsLes prix actuels des moutons sur le marché ont connu une flambée et selon un éleveur de moutons de la Wilaya d’Ain Defla, le prix de la brebis varie entre 35 000 et 45 000 Da, tandis que les prix de l’agneau se situent entre 30 000 Da et 40 000 Da. Pour le prix des moutons, il débute à 50 000 Da et peut atteindre les 90 000 Da ou Ibrahim Amrani, les citoyens algériens ont commencé à se rendre dans les marchés des moutons, mais uniquement pour se renseigner sur les prix de ces derniers, en précisant que le prix de l’ovin peut atteindre les 100 000 Da pour un grand mouton en bon état physique.
Algérie – Les Algériens seront agréablement surpris en allant faire leurs courses cette semaine. En effet, les prix des fruits et des légumes ont accusé une baisse en Algérie, et tous les détails sont dans la suite de cette édition du 16 mai le début de la pandémie du coronavirus, le pouvoir d’achat des citoyens a dégringolé. Les produits de grande consommation, qui étaient autrefois accessibles, sont devenus inabordables. Mais à la surprise générale, les prix des fruits et légumes viennent de connaître une baisse conséquente en Algérie. Les viandes aussi sont concernées par ce recul des tarifs, que nous essayerons d’expliquer dans la suite de cet faut savoir que cette baisse des prix est survenue du jour au lendemain. La plupart des fruits et légumes sont concernés. À l’instar de la pomme de terre, qui est passée de 120 à 60 dinars le kilogramme. Les tomates sont actuellement affichées entre 80 et 100 DA et les poivrons à 80 DA. Tandis que les courgettes et les carottes sont entre 60 et 70 DA le Kg. Il s’agit de ce que rapporte le quotidien arabophone ailleurs,les prix des fruits et légumes qui ne sont pas de saison restent élevés. Mais ont tout de même baissé par rapport aux derniers jours. Les abricots et les pastèques sont cependant proposés à des prix raisonnables. Pour expliquer ce phénomène, qui avantage les citoyens algériens, il faut noter que le mois de mai est la période de récolte de nombreux produits agricoles. Algérie fruits et légumes, volailles et poissons en baisseAinsi, l’offre en produits frais est abondante en cette période, ce qui contribue à faire baisser les prix sur les marchés de gros. Où l’offre se retrouve parfois à excéder la demande. La hausse des prix des mois précédents n’était donc pas le fait des spéculateurs. Mais plutôt du jeu de l’offre et de la demande. L’offre devrait continuer à abonder et cette baisse devrait persister jusqu’au mois d’ le même sillage, les prix des viandes blanches ont également chuté, passant de 430 à 280 DA, voire 230 DA le Kg dans certaines régions. Faisant craindre aux producteurs de grosses pertes en cas de persistance de cette baisse. Les produits de la mer ont suivi cet élan, et les sardines qui avaient atteint le record de da le Kg sont désormais affichées entre 300 et 400 Da. La viande rouge fait exception, et reste le seul produit à avoir augmenté après l’Aïd El Fitr.
prix des fruits et légumes en algérie